دورية أكاديمية

Community-acquired Clostridium difficile infections in emergency departments.

التفاصيل البيبلوغرافية
العنوان: Community-acquired Clostridium difficile infections in emergency departments.
المؤلفون: Lefevre-Tantet-Etchebarne, D.1, Sivadon-Tardy, V.2, Davido, B.1,3, Bouchand, F.4, Grenet, J.5, Farfour, E.6, Getti, R.7, Duran, C.1, Chéron, M.8, Mathieu, E.9, Salomon, J.1, Dinh, A.1,3 aurelien.dinh@aphp.fr
المصدر: Medecine & Maladies Infectieuses. Oct2016, Vol. 46 Issue 7, p372-379. 8p.
مصطلحات موضوعية: *ANTI-infective agents, *CLOSTRIDIOIDES difficile, *DIABETES, *KIDNEY failure, *PATIENTS, *THERAPEUTICS
الملخص (بالإنجليزية): Objective Clostridium difficile infection (CDI) has become an emerging infectious disease, especially in community settings. Little data is available on its frequency and characteristics in France. We aimed to describe CDI case patients consulting at the emergency department and to compare community-acquired and nosocomial CDIs. Patients and methods We conducted a multicenter retrospective study over a three-year period of community-acquired and nosocomial CDI case patients seen at the emergency department and compared their characteristics. Results A total of 2055 patients consulted for diarrhea during the study period and had a stool culture performed: 66 (3.2%) presented with a CDI, of which 28 were community-acquired and 26 were nosocomial. Community-acquired CDI patients had a mean age of 57.7 years (18–91), with a sex-ratio of 0.65. At least one risk factor was observed in 24 patients (85.7%), of whom 22 (78.6%) had been prescribed a previous antimicrobial treatment. Diabetes mellitus and renal failure were more frequently observed in patients presenting with nosocomial CDI. They required fluid replacement and needed be to re-hospitalized more often than community-acquired patients. Conclusion Community-acquired CDIs in the emergency department account for approximately 1.4% of patients presenting with diarrhea. One risk factor is present in 85.7% of cases. In our study, their presentation and outcome seemed less severe than nosocomial CDIs. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
Abstract (French): Résumé Objectif Depuis une dizaine d’années, les infections à Clostridium difficile (ICD) sont émergentes en particulier en milieu communautaire. Peu de données sont disponibles sur leur fréquence et leurs caractéristiques en France. Nous nous sommes intéressés aux cas d’ICD consultant au service d’accueil des urgences (SAU) adulte et avons comparé les cas d’ICD communautaires aux cas d’ICD nosocomiales. Patients et méthodes Étude rétrospective multicentrique sur trois ans des cas d’ICD communautaires et nosocomiales se présentant au SAU et comparaison de leurs caractéristiques. Résultats Parmi les 2055 patients ayant consulté au SAU pour des diarrhées et ayant bénéficié d’une coproculture, 66 (3,2 %) présentaient une ICD dont 28 d’origine communautaire et 26 d’origine nosocomiale. Les cas d’ICD communautaires avaient un âge moyen de 57,7 ans (18–91) et le sex-ratio était de 0,65. On retrouvait la présence d’au moins un facteur de risque dans 24 cas (85,7 %), dont 22 cas (78,6 %) avaient reçu une antibiothérapie inductrice. En comparaison, les patients présentant une ICD nosocomiale avaient plus souvent un diabète et une insuffisance rénale. Leur prise en charge nécessitait plus souvent un remplissage vasculaire et une nouvelle hospitalisation. Conclusion Les ICD communautaires au SAU représentent environ 1,4 % des patients consultant pour diarrhée. Un facteur de risque est présent dans 85,7 % des cas. Dans notre étude, leur présentation clinico-biologique et leur évolution étaient moins sévères que celles des ICD nosocomiales. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
قاعدة البيانات: Academic Search Index
الوصف
تدمد:0399077X
DOI:10.1016/j.medmal.2016.06.002